Ecrits imposteurs et nauséabonds
Extraits de : « Bouteflika, une imposture algérienne »
(Ed : Le Matin- 12-2003)
Un libellé commandité, écrit par l’imposteur Mohamed Bentchicou.,
« rédacteur en chef du premier journal indépendant algérien, Alger-Républicain »
« Un ouvrage plus nauséabond que sulfureux »
(Le Monde – 04-2004)
Un libellé commandité, écrit par l’imposteur Mohamed Bentchicou.,
« rédacteur en chef du premier journal indépendant algérien, Alger-Républicain »
« Un ouvrage plus nauséabond que sulfureux »
(Le Monde – 04-2004)
Extraits :
« Boumediène fera le dictateur sur l’insistance de Bouteflika »
« Dans sa folie revancharde, le chef de l’Etat (Bouteflika) n’a à aucun moment réalisé que les coups portés à la hiérarchie militaire étaient encaissés par le pays tout entier, qu’ils fragilisaient autant les généraux que l’Algérie »
« Le président de la République (Bouteflika) a placé consciemment ou inconsciemment l’Algérie sous le double chantage des enquêteurs internationaux et des groupes de pression islamistes (lesquels) s’entendant pour bloquer tout progrès »
« La petite corpulence (de Bouteflika) lui vaudra le sobriquet de « mikrada » (petit singe) dont aimait à l’affubler Abdelhafid Boussouf qui commandait la Wilaya V »
[Omar Delbahia : Boussouf, héros de Bentchicou est l’assassin de Abbane Ramdane]
« Bouteflika passe par l’Espagne et l’Italie et s’y plaît. En ce début des années 1960, l’époque du twist et du cha-cha-cha, il fait bon y vivre et le jeune Abdelaziz n’a que 23 ans !… Le fêtard finira par rallier Ghardimaou avec un impardonnable retard »
« Bouteflika n’a rien su des nationalisation « jusqu’à la veille de leur annonce par Boumediène le 24 février 1971 » [ puis quatre pages plus loin]… « Boumediène décidera de nationaliser les hydrocarbures à l’insu de Bouteflika, qui ne l’apprendra que dans l’après-midi du 24 février 1971 »
« Tout le monde en convient : il y avait un contrat moral entre les deux hommes. Impénétrable. Entendu. Mystérieux. Un secret jalousement gardé par le sérail comme un pacte intime et ultime qu'il convenait de taire pour toujours. Sur quoi repose donc cette relation filiale qui, si elle a existé, aura justifié que, contre ses compagnons de guerre et de paix, Boumediène ait toujours pris le parti de Bouteflika dont il n'ignorait rien des défauts et des mérites usurpés ? La question embarrassait toujours, en 2003, les survivants d'une ère de troublantes complicités. « On ne sait pas, et je crois qu'on ne le saura jamais. En tout cas, c'est une réponse que je voudrais bien connaître avant de mourir, tranche le général Rachid Benyellès. Même les gens très proches de Boumediène, tel Djelloul Khatib, à qui j'ai posé la question, n'ont jamais réussi à percer le secret de cette curieuse connivence. »… Aujourd'hui, les officiers de l'ANP, en sont encore à s'interroger, à l'image de Khaled Nezzar: « Bouteflika s'est-il vraiment introduit comme un mauvais génie dans l'âme de Boumediène ? » Dans le doute, ils disculpent leur ancien chef en enfonçant le dauphin insatiable… De ce qu’on a fini par savoir, il ressort une curieuse vérité... ».
« Bouteflika affichait une excessive possessivité envers Boumediène…Pour garder Boumediène à lui seul Bouteflika ne reculait devant rien ».
« De nombreux témoignages rapportent de mémorables incidents entre Bouteflika et Mme Boumediène dont le plus insolite s’est déroulé à cuba quand les deux « protégés » en sont arrivés à de violents échanges verbaux pour arracher la proximité du président Boumediène ».
« Bouteflika a-t-il soigneusement entretenu cette liaison indéfinissable… l’architecture de l’Etat sous Boumediène privilégiait une incroyable atmosphère de harem ».
« La chose est maintenant du domaine public : Bouteflika est souvent sous l’effet de ses propres médicaments qui agissent effectivement sur ses réflexes, le perturbent, le transportent dans une extase…De l’avis général, l’homme souffre de cet immense manque de confiance en soi que l’on retrouve chez les personnes en quête perpétuelle du père, syndrome qui serait doublé chez Bouteflika par le complexe de l’autodidacte, l’homme étouffant constamment, par la frime, la frustration de n’avoir pas accompli d’études ».
« Cette relation très particulière à [sa] mère a conduit Bouteflika jusqu’à dissimuler aux Algériens son mariage, et [son] excessif penchant pour la voyance et le maraboutisme ».
« Cette adoration pour la mère est-elle à l’origine du célibat d’Abdelaziz Bouteflika ? »
Bouteflika a « estimé nécessaire de cacher cette union tout à fait légale… pour rester fidèle à une certaine relation mère-fils…pense M. Dehbi »
« Nous savons qu’il a fait la tournée des chouafate en 1989 et 1994 » affirme le général Benyellès.
« Il est très porté sur le gris-gris… c’est de son enfance qu’il tient cela…Sophie B. tient un cabinet…à Paris. Elle est l’une des voyantes attitrées du président algérien. Elle vient régulièrement à Alger »
« Bouteflika a formulé une exigence déconcertante à un marabout de Ghardaïa en 1995 (selon Dehbi) : « Ecrits-moi un harz qui fasse plier ma bien-aimée »
« Tout le monde en convient : il y avait un contrat moral entre les deux hommes. Impénétrable. Entendu. Mystérieux. Un secret jalousement gardé par le sérail comme un pacte intime et ultime qu'il convenait de taire pour toujours. Sur quoi repose donc cette relation filiale qui, si elle a existé, aura justifié que, contre ses compagnons de guerre et de paix, Boumediène ait toujours pris le parti de Bouteflika dont il n'ignorait rien des défauts et des mérites usurpés ? La question embarrassait toujours, en 2003, les survivants d'une ère de troublantes complicités. « On ne sait pas, et je crois qu'on ne le saura jamais. En tout cas, c'est une réponse que je voudrais bien connaître avant de mourir, tranche le général Rachid Benyellès. Même les gens très proches de Boumediène, tel Djelloul Khatib, à qui j'ai posé la question, n'ont jamais réussi à percer le secret de cette curieuse connivence. »… Aujourd'hui, les officiers de l'ANP, en sont encore à s'interroger, à l'image de Khaled Nezzar: « Bouteflika s'est-il vraiment introduit comme un mauvais génie dans l'âme de Boumediène ? » Dans le doute, ils disculpent leur ancien chef en enfonçant le dauphin insatiable… De ce qu’on a fini par savoir, il ressort une curieuse vérité... ».
« Bouteflika affichait une excessive possessivité envers Boumediène…Pour garder Boumediène à lui seul Bouteflika ne reculait devant rien ».
« De nombreux témoignages rapportent de mémorables incidents entre Bouteflika et Mme Boumediène dont le plus insolite s’est déroulé à cuba quand les deux « protégés » en sont arrivés à de violents échanges verbaux pour arracher la proximité du président Boumediène ».
« Bouteflika a-t-il soigneusement entretenu cette liaison indéfinissable… l’architecture de l’Etat sous Boumediène privilégiait une incroyable atmosphère de harem ».
« La chose est maintenant du domaine public : Bouteflika est souvent sous l’effet de ses propres médicaments qui agissent effectivement sur ses réflexes, le perturbent, le transportent dans une extase…De l’avis général, l’homme souffre de cet immense manque de confiance en soi que l’on retrouve chez les personnes en quête perpétuelle du père, syndrome qui serait doublé chez Bouteflika par le complexe de l’autodidacte, l’homme étouffant constamment, par la frime, la frustration de n’avoir pas accompli d’études ».
« Cette relation très particulière à [sa] mère a conduit Bouteflika jusqu’à dissimuler aux Algériens son mariage, et [son] excessif penchant pour la voyance et le maraboutisme ».
« Cette adoration pour la mère est-elle à l’origine du célibat d’Abdelaziz Bouteflika ? »
Bouteflika a « estimé nécessaire de cacher cette union tout à fait légale… pour rester fidèle à une certaine relation mère-fils…pense M. Dehbi »
« Nous savons qu’il a fait la tournée des chouafate en 1989 et 1994 » affirme le général Benyellès.
« Il est très porté sur le gris-gris… c’est de son enfance qu’il tient cela…Sophie B. tient un cabinet…à Paris. Elle est l’une des voyantes attitrées du président algérien. Elle vient régulièrement à Alger »
« Bouteflika a formulé une exigence déconcertante à un marabout de Ghardaïa en 1995 (selon Dehbi) : « Ecrits-moi un harz qui fasse plier ma bien-aimée »
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Omar Delbahia :
Ce n’étaient là que des extraits d’un livre de plus de 200 pages identiquement fangeuses.
C’est tellement ignoble, je n’en peux plus. Je m’arrête là.
4 Comments:
Algeria don’t need Army generals. Algeria need strong judges who can work freely without fear.
Most of the Algerian generals are criminals who killed thousand of tied prisoners who after arrested were tortured and killed and their bodies never found.
No one can judge what Bouteflika did because it’s a big mess in Algeria and it’s going to need ten presidents to clean it up.
I learned to tell people that no one can show me that he is better Algerian than me and if you are just show it if you can.
Hakim Talbi
New York
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